Joint purge Zimmatic

joint purge Zimmatic Pivot Lindsay

Quand le système Pivot termine l’irrigation, il est très important de vider complètement l’eau du tube principal. Surtout si les températures extérieures sont très basses. En effet, l’eau à l’intérieur du tuyau pourrait geler et ainsi endommager les structures. C’est ici que le joint purge Zimmatic intervient.

Lorsque qu’on arrête la machine, la pression de travail exercée par l’eau à l’intérieur de la canalisation disparaît. Ainsi, chaque joint purge en caoutchouc cesse d’exercer une pression contre la paroi du tube, vidant complètement l’eau restante dans la canalisation principale du Pivot Lindsay Zimmatic.

Le joint purge Zimmatic est en forme de champignon en caoutchouc avec une forme de pointe sur sa tige. Cela facilite son insertion dans le trou prévu à cet effet sur le joint côté Pivot de la jonction de type cardan utilisée dans les travées fixes ou déplaçables.

Modèles disponibles de joint purge Zimmatic

  • Joint purge Lindsay de caoutchouc noir, avec forme de champignon.
  • Joint spécial Lindsay Zimmatic multi-pression en caoutchouc rouge. Pour des pressions de travail comprises entre 20 et 75 PSI, soit entre 14 et 52,5 mètres de colonne d’eau. Autrement dit, de 1,4 à 5,2 Bars.
  • Lindsay Zimmatic joint purge, au même format, mais de couleur blanche, fonctionne également. Pour des pressions de travail comprises entre 3,5 et 10 Bars.

Lors de l’installation du joint purge, la partie large du champignon se place à l’intérieur du tube, tandis que la partie étroite reste à l’extérieur. Pour remplacer ce composant sur une machine Pivot, il faut retirer le manchon d’accouplement. Ensuite attacher la partie étroite du champignon avec une corde. Et ce dans le but de faciliter son repositionnement dans le trou. Ensuite, les lèvres sont dégagées à l’aide d’un tournevis.

Il est important de vérifier régulièrement ces éléments de drainage automatique présents sur chaque travée. L’objectif est de prévenir autant que possible les obstructions ainsi que le risque de gel en hiver, qui pourrait finir par éclater la canalisation. Ce qui entraînerait une réparation très coûteuse.

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